Mise en contexte La mise au jour de la remise des Sulpiciens a été réalisée dans le cadre de l’aménagement d’un stationnement. Pendant l’intervention archéologique, je devais recueillir un maximum d'informations sur le vestige. Avant les travaux, je savais que le bâtiment avait brûlé en 1933, grâce à une photo d'archives.

La semaine dernière, j’ai eu l’honneur de présenter trois conférences pour lancer l’année scolaire 2016-2017, à l’école Montarville (St-Bruno). Cette école a choisi la préhistoire comme thématique pour l’année scolaire, ce qui cadre avec mon domaine d’expertise. Je leur ai parlé des grandes périodes de la préhistoire amérindienne.

La fabrication d’une hache en pierre est un processus qui pouvait s’avérer laborieux, à l’époque de la préhistoire. Avant d’avoir accès aux haches de traite en métal (parfois appelées tomahawk), les Amérindiens du Québec devaient investir beaucoup de temps pour fabriquer cet outil. Ils devaient d’abord s’approvisionner en pierres peu cassantes, souvent sur le bord de l’eau. Puis les pierres devaient être polies et fixées à un manche.

Les Tipis (mot sioux signifiant habitation) étaient utilisés dans les plaines canadiennes et américaines par des groupes nomades, tels que les Cree, les Ojibwa, les Sioux, les Blackfoot et les Assiniboine. Avant le 17e siècle, ils étaient transportés avec des chiens, ce qui obligeait à en limiter les dimensions.

Plusieurs utilisent indépendamment les mots autochtone et amérindiens ou encore iroquois et iroquoiens. Pourtant, ces termes désignent des réalités bien différentes. Voici quelques précisions :

Depuis plusieurs années déjà, Archéophone présente des ateliers au Musée des Maîtres et Artisans du Québec. Les groupes scolaires qui assistent à ces ateliers sont toujours surpris de constater que ce musée, situé dans l’arrondissement Saint-Laurent, se trouve à l’intérieur d’une église qui semble venir tout droit du Moyen-âge.

Je suis un élève de 3e année. Je vous écris pour en connaître d’avantage sur votre métier.

La présence d’objets préhistoriques dans le sol du parc national d’Oka est connue des archéologues depuis les années 30. Jusqu'à ce jour, quelques milliers d’artéfacts ont été trouvés, laissant croire à une occupation du territoire par les ancêtres des Amérindiens durant la préhistoire.

De la préhistoire à l’arrivée de Jacques Cartier, en passant par la période archaïque et la période sylvicole, nous avons constaté l’évolution de l’homme. C’est avec une approche tout en différence que M.

Afin d’adapter le contenu de son atelier sur les Algonquiens et les Iroquoiens vers 1500 au nouveau cours d’histoire du 3e secondaire, l’entreprise Archéophone s’est procuré quelques manuels d’histoire. L’un de ces manuels donnait une information apparemment erronée en ce qui concerne les ancêtres des Amérindiens qui auraient été les premiers à mettre les pieds au Québec.